|
Les villages, les habitants |
|
|
|
Les 523 pages de la copie du registre paroissial de la Chapelle
Rablais conservée aux Archives départementales,
couvrant les années 1669 à 1785 sont particulièrement
éprouvantes à parcourir car, en plus de lacunes
importantes, l'ordre en est quelquefois bouleversé : par
exemple, après l'année 1749 page 159, on trouvera
les actes de 1750 à la page 500, ceux de 1751 à
la page 491 etc... Le summum concerne l'année 1740 où
le cahier reproduit est celui de la paroisse de Gastins! Comment
s'y retrouver? Il est d'ailleurs possible que je me sois trompé
en essayant de rétablir un semblant d'ordre dans les pages
de ce registre. Merci de me corriger
|
|
|
Les Archives Départementales de Seine et Marne ont mis
en ligne de nombreux documents d'archives: tables de successions
et absences, recensement de population, registres paroissiaux,
état civil et tables décennales, cartes postales
et plans d'intendance.
Pour l'état civil, il s'agit de la copie des micro films
existants, donc de photographies noir et blanc d'originaux. Plutôt
que de cliquer au hasard parmi les 562 pages du micro film couvrant
la période 1786 / 1808, cote 5Mi2829, je propose une table
pour retrouver plus rapidement les années.
|
|
|
Mariages et contrats de mariage des habitants de la Chapelle
Rablais entre 1789 et 1811 dans les archives de la Chapelle Rablais
et Nangis pour la période an VII et VIII.
|
|
|
Quand le curé tenait le registre des naissances, les baptêmes
étaient très proches des accouchements. J'ai voulu
savoir si les témoins figurant sur les actes d'état
civil reflétaient le choix des parents, ou si, comme pour
les enterrements, il s'agissait de proches de la maison ou de
la mairie. Registres de 1832
|
|
|
Les assemblées d'habitants où étaient prises
les décisions touchant la communauté donnaient lieu
à des acte notariés où étaient notés
les noms des participants, séparant les propriétaires,
souvent absents car riches étrangers à la commune
(ne figurent pas dans ce tableau), leurs fermiers et la masse
des manouvriers. Dans le tableau figurent certaines fonctions
relevées : marguilliers qui gèraient la Fabrique
de l'église, syndics pour les affaires communales; ainsi
que ceux qui avaient loué des terres ou des prés
appartenant à la Fabrique.
|
|
|
Extraits du recensement de 1836, la composition de la population
et la liste des métiers dans la commune de la Chapelle
Rablais.
|
|
|
Extraits du livre de comptes du boulanger Boutillier de la Chapelle
Gauthier vers 1880. Deux systèmes de compte: dans l'un,
il s'engageait à fournir des pains
en fonction du blé livré par le client; dans l'autre,
il comptait les pains fournis sur une "taille" pour
se faire payer plus tard.
|
|
|
Les activités dans le village de la Chapelle Rablais,
son gros hameau des Montils et la quinzaine d'écarts se
partageaient entre les champs et les bois. S'il est curieux que,
dans le recensement de 1836, aucun chef de famille ne se déclare
bûcheron; d'autres sources en révèlent le
grand nombre.
|
|
|
Les Archives départementales ont mis en ligne les cartes
du cadastre napoléonien de la Chapelle Rablais. Pour aider
les généalogistes et autres curieux du passé,
je donne ici la liste des propriétaires de maisons, issue
de la matrice cadastrale conservée en mairie.
|
|
|
La part des impôs de
chaque propriétaire relevée dans la matrice cadastrale
de la Chapelle Rablais en 1832. Lien vers le plan cadastral sur
le site des Archives de Seine et Marne.
|
|
|
Résumé du registre des Augmentations et Diminutions
du XIX° siècle concernant les propriétés,
terres et bâtiments, de la Chapelle Rablais, entre 1835
et 1899. Liste des modifications: maisons détruites, modifées,
nouvelles; modifications de fonction des parcelles...
Lien vers le plan cadastral sur le site des Archives de Seine
et Marne.
|
|
De nombreux écarts de la Chapelle Rablais ont disparu
au fil des siècles, principalement au cours du XIX°,
quand les grands propriétaires étendaient leurs
terres et regroupaient leurs fermes. Mais ce mouvement avait commencé
bien avant la Révolution: "aux
Montils et à la Chapelle Rablay, la diminution de la valeur
des terres est si forte, qu'il y a cinq fermes abandonnées
dans ce moment ci."
|
|
|
Les Archives Départementales ont mis en ligne les recensements
depuis 1836 jusqu'à 1906. Chaque fichier renferme toutes
les données pour le canton entier, Nangis pour notre commune,
soit plusieurs centaines de pages. Les communes sont classées
dans l'ordre alphabétique, mais on trouvera la Chapelle
Rablais aussi bien au C de Chapelle qu'au L de La Chapelle. Cotes
des recensements et numéro de la première page pour
la Chapelle Rablais, années 1836 à 1911.
|
|
|
Bail pour neuf années de la ferme
des Montils en 1752, signé entre les frères Jobert,
bourgeois de Paris et le fermier Léglantier. Les contraintes
imposées au fermier et les paiements aux propriétaires
et différents seigneurs du lieu...
|
|
|
Contrat de mariage entre Gabriel Marie Richard & Juliette
Rechault où figurent l'inventaire d'une maison bourgeoise
de Nangis et de la ferme des Grands Montils. Autres actes...
|
|
|
Plusieurs documents présentent la grande ferme de Tourneboeuf,
pendant longtemps propriété des Moyeux qui possédaient
plus de 1.000 hectares sur les 1.544 de la commune. Sous l'égide
de Mme Rigaud, au début du XX° siècle, elle
devint une ferme moderne.
|
|
|
1800 : contrat notarié entre deux terrassiers pour la
location d'une vache pour trois années, avec option d'achat
!
|
|
|
Une vingtaine de propriétaires pour
28 voitures à cheval recensées en 1880..
|
|
|
Même ayant atteint la majorité
pour le mariage, les jeunes gens étaient tenus de solliciter
le consentement des parents récalcitrants par un "acte
respectueux" présenté par un notaire.
|
|
|
En 1752, le nouveau curé réunit les paroissiens
pour définir les conditions d'embauche d'un maître
des petites écoles, clerc paroissial et autres fonctions.
Le texte reproduit les notes du curé, reportées
sur le premier registre paroissial conservé à la
mairie de la Chapelle Rablais.
|
|
|
Comme de nombreux villages d'Ile de France, la Chapelle Rablais
accueillait des bébés en nourrice, révélé
par le grand nombre de leurs décès. Un relevé
rapide entre 1783 et 1805 en dénombre plus d'une cinquantaine,
quatre sur cinq étant originaires de Paris.
|
|
|
Mariages et contrats de mariage des habitants de la Chapelle
Rablais entre 1789 et 1811 dans les archives de la Chapelle Rablais
et Nangis pour la période an VII et VIII.
|
|
Histoire locale |
|
|
|
Pour le centenaire de la Révolution française,
et l'exposition universelle pour laquelle fut érigée
la Tour Eiffel, les maîtres d'école de 1889 furent
cordialement invités par leurs Inspecteurs à se
pencher sur le passé de la commune où ils exerçaient.
|
|
|
L'Almanach historique, topographique et statistique du département
de Seine et Marne et du diocèse de Meaux avait entrepris
de publier des monographies communales rédigées
par des érudits, à partir de 1861, et plus ou moins,
dans l'ordre alphabétique. Par chance, la Chapelle Rablais
figure parmi les premières, car le projet n'alla pas jusqu'à
son terme. L'almanach 1909 consacre une vingtaine de pages à
notre petite commune.
|
|
|
Publiée à Orléans en 1911, l'Histoire illustrée
de Seine et Marne de Maurice Pignard-Peguet livre, commune par
commune des éléments historiques. La page 724 est
consacrée à la Chapelle Rablais.
|
|
|
Notice de la Chapelle Rablais dans "Histoire topographique,
politique, physique et statistique du département de Seine
et Marne par le docteur Pascal 1836.
|
|
|
En 1954, Jean Hubert et Henri Stein publièrent le "Dictionnaire
topographique de Seine et Marne comprenant les noms de lieu anciens
et modernes" où ils recensaient les différentes
formes qu'avaient pu prendre les nom de lieux, avec indication
de leur provenance. On trouve ainsi vingt variations autour du
nom du village...
|
|
|
En 1829, Louis Michelin commence la publication de ses "Essais
historiques, statistiques, chronologiques, littéraires,
administratifs, etc., sur le département de Seine- et-
Marne"; six volumes seront publiés jusqu'en 1843,
décrivant les communes de notre département. Un
septième volume, donne d'autres renseignements sous forme
d'un "Tableau scénographique".
|
|
|
Au temps du roi Philippe le Bel, Gautier Cornu, seigneur de la
Chapelle Rablais fait renouveler le rôle de ses vassaux,
détaillant pour chacun les fiefs et tenures ainsi que les
sommes dues. Le texte intégral en ancien français.
|
|
|
Chaque seigneurerie possédait des registres nommés
terriers, dans lesquels, de siècle en siècle, on
indiquait les limites des fiefs et des censives, les redevances
dues, les services à rendre, les usages locaux. Résumé
des actes concernant la Chapelle Rablais de 1555 à 1785.
|
|
|
Deux documents sur les émeutes alimentaires à Nangis
sous la Révolution: extrait du texte d'Arthur Young, 1789;
réglement de police de la municipalité de Nangis
1791.
|
|
|
Le texte de la loi et un tableau exposant la solde pour les différents
grades dans chaque corps d'armée, sous la Révolution
française.
|
|
|
Un fait divers tragique sous la Révolution: "L'an
cinq de la République française, un crime horrible
fut commis à la ferme de la Hotte par les chauffeurs, bande
de brigands composée de prisonniers libérés,
de déserteurs et du rebut des armées républicaines.
"
|
|
|
"Dans la nuit du jeudi au vendredi 21 octobre, on annonçait
qu'un petit détachement prussien faisait des réquisitions
du côté de La Chapelle-Rablais. On décida
d'aller attaquer ce détachement et, à trois heures
du matin, les volontaires de Montereau, de Cannes et de Varennes
se dirigeaient, malgré une pluie fine et serrée,
sur Forges où déjà s'étaient réunis
les volontaires de cette commune et ceux de La Grande-Paroisse.
En route, se trouvèrent encore les volontaires de Misy,
Barbey, Marolles, Saint Germain-Laval, Salins et Laval."
S'ensuivit une bataille autour de la ferme de la Salle à
Grandpuits...
|
|
|
Comment à force de repasser le linge de Louis Napoléon
Bonaparte, prisonnier pour complot, Eléonore devint châtelaine
des Moyeux et épouse du frère de lait de l'Empereur.
|
|
Curés et paroissiens |
|
|
Essayer de retrouver la vie d'Etienne
Fare Charles Huvier, curé de campagne au milieu du XVIII°
siècle au travers des traces qu'il a laissées, dont
de nombreuses notes dans les marges des registres paroissiaux.
Découvrir aussi ses paroissiens, et les autres curés
de la Chapelle Rablais jusqu'à la Révolution et
au delà...
|
|
|
Les 523 pages de la copie du registre paroissial de la Chapelle
Rablais conservée aux Archives départementales,
couvrant les années 1669 à 1785 sont particulièrement
éprouvantes à parcourir car, en plus de lacunes
importantes, l'ordre en est quelquefois bouleversé : par
exemple, après l'année 1749 page 159, on trouvera
les actes de 1750 à la page 500, ceux de 1751 à
la page 491 etc... Le summum concerne l'année 1740 où
le cahier reproduit est celui de la paroisse de Gastins! Comment
s'y retrouver? Il est d'ailleurs possible que je me sois trompé
en essayant de rétablir un semblant d'ordre dans les pages
de ce registre. Merci de me corriger
|
|
|
Les Archives Départementales de Seine et Marne ont mis
en ligne de nombreux documents d'archives: tables de successions
et absences, recensement de population, registres paroissiaux,
état civil et tables décennales, cartes postales
et plans d'intendance.
Pour l'état civil, il s'agit de la copie des micro films
existants, donc de photographies noir et blanc d'originaux. Plutôt
que de cliquer au hasard parmi les 562 pages du micro film couvrant
la période 1786 / 1808, cote 5Mi2829, je propose une table
pour retrouver plus rapidement les années.
|
|
|
Quand le curé tenait le registre des naissances, les baptêmes
étaient très proches des accouchements. J'ai voulu
savoir si les témoins figurant sur les actes d'état
civil reflétaient le choix des parents, ou si, comme pour
les enterrements, il s'agissait de proches de la maison ou de
la mairie. Registres de 1832
|
|
|
Les assemblées d'habitants
où étaient prises les décisions touchant la
communauté donnaient lieu à des acte notariés
où étaient notés les noms des participants,
séparant les propriétaires, souvent absents car riches
étrangers à la commune (ne figurent pas dans ce tableau),
leurs fermiers et la masse des manouvriers. Dans le tableau figurent
certaines fonctions relevées : marguilliers qui gèraient
la Fabrique de l'église, syndics pour les affaires communales;
ainsi que ceux qui avaient loué des terres ou des prés
appartenant à la Fabrique.
|
|
|
Dernier budget de la Fabrique
gérant les biens de l'église de la Chapelle Rablais
avant la vente de ses terres comme Biens Nationaux.
|
|
|
Budget très réduit
de la Fabrique de l'église après la vente de ses terres
et prés, principale source de revenus.
|
|
|
8 décembre 1748 : acte
de présentation de Joseph Mizel comme "homme vivant
et mourant" au seigneur des Moyeux par les marguilliers de
la Fabrique de l'église de la Chapelle Rablais.
|
|
|
8 décembre 1748 : Cyprien de la Brière, seigneur
des Moyeux, accorde une rente de quinze sols sur un demi-arpent
de terre à la Fabrique de l'église de la Chapelle
Rablais. Le même jour lui était présenté
un nouvel "homme vivant et mourant", Joseph Mizel.
|
|
|
Après la mort de Joseph Mizel, "homme vivant et mourant"
présenté au seigneur des Moyeux en 1748, présentation
de François Bony par les marguilliers de la Fabrique de
l'église de la Chapelle Rablais.
|
|
|
Acte passé entre les curés de la paroisse Saint
Denis de Coulommiers, pour les chapelains,, et Marie Maurice de
Reynold pour des terres à la Gloise, paroisse de Vaudoy.
Présentation comme homme vivant et mourant de Jean Huvier,
bailli et maire de Coulommiers, frère du curé de
la Chapelle Rablais.
|
|
|
Antoine, neveu du curé de la Chapelle Rablais, a résumé
dans son livre de raison les mémoires laissés par
d'autres membres de sa famille, ainsi que l'inventaire de ses
biens acquis ou transmis. J'ai résumé ces pages,
en ne développant que celles qui pouvaient servir à
mieux connaître le mode de vie des parents du curé
Etienne Charles Fare Huvier.
Ces pages peuvent intéresser les généalogistes
de la région de Coulommiers, Saints, Saint Augustin, Boissy
le Chatel ...
|
|
|
Localisation à Coulommiers de la maison du bailli Jean
Huvier, frère du curé de la Chapelle Rablais, à
partir de plans de projets de jardins conservés aux Archives
départementales.
|
|
|
En 1752, le nouveau curé réunit les paroissiens
pour définir les conditions d'embauche d'un maître
des petites écoles, clerc paroissial et autres fonctions.
Le texte reproduit les notes du curé, reportées
sur le premier registre paroissial conservé à la
mairie de la Chapelle Rablais.
|
|
|
Etienne Fare Charles Huvier, curé de la Chapelle Rablais
de 1752 à 1759 desservit ensuite la cure de Cerneux. Il
reçut ce certificat provenant de l'un des bureaux des nourrices
de Paris, authentifiant le placement d'un nourrisson chez une
de ses paroissiennes.
|
|
|
Un "jeune Huvier", clerc tonsuré sollicita en
1769 auprès de la Congrégation de la Mission de
St Lazare l'obtention d'une des bourses créées par
son ancêtre, Etienne Braquet, avocat en Parlement qui laissa
un héritage substantiel à partager entre quatre
oeuvres caritatives. Documents à propos des bourses de
la Fondation Barquet.
|
|
|
Rente titre ecclésiatique octroyée par les parents
du séminariste Etienne Fare Charles Huvier pour lui permettre
d'accéder aux ordres majeurs.
|
|
|
A l'occasion de la "présentation et acceptation de
vicaire des Dames religieuses de la Congrégation de Notre
Dame de Paix, couvent de Coulommiers ", homme vivant et mourant
pour leurs propriétés relevant du seigneur de Coulommiers.
Description de leurs bâtiments dans le Vieux Château
de la ville, où le curé Huvier fut chapelain de
Ste Madeleine. 19 avril 1781 AD77 H 443
|
|
|
A défaut de présenter l'acte de prise de possession
de la chapelle de la Madeleine par Etienne Fare Charles Huvier,
celui du jeune Nicolas Lefrançois, 9 décembre 1750,
pour la chapelle de Fonte Archer dans l'église de Saints,
où le curé Huvier résida chez son frère,
à la ferme du Mée. AD77
141 E 216
|
|
|
Autre prise de possession d'une
chapelle, dans l'église de Coulommiers, par un prêtre,
déjà curé d'Armentières en Brie et d'Isles
les Meldeuses. 30 janvier 1747 AD77 82 E
4
|
|
|
Documents sur les rituels d'ordination à la prêtrise
et aux ordres mineurs, tels qu'ils se pratiquaient à l'époque
du curé Huvier et actuellement.
|
|
|
En 1520, l'évêque
de Meaux publia : "Deffence et inhibition
des dances publiques et jeux des-honnestes ès Dimanches et
aux jours de Festes de la glorieuse Vierge Marie", monitoire
destiné à être "fulminé" en
chaire devant tous les paroissiens. On verra que le curé
Huvier rejoingait cette détestation des danses publiques... |
|
Les migrants et saisonniers |
|
|
|
Les Archives de la Chapelle Rablais renferment une collection
de Passeports pour l'Intérieur du XIX° siècle.
A l'attention des généalogistes, voici la liste
des passeports conservés en mairie.
|
|
|
Les communes de Seine et Marne ont répondu en février
1809 à un questionnaire portant sur les migrations de main
d'oeuvre. On y découvre les milliers de saisonniers qui
venaient chercher en Brie l'ouvrage qu'ils ne trouvaient pas chez
eux. Nous les retrouverons dans les différents chapitres
de ce site.
|
|
|
Pour donner un petit coup de pouce aux généalogistes,
car retrouver un ancêtre migrant n'est pas des plus aisé,
j'ai résumé les actes authentiques prouvant l'existence
en Brie d'un grand nombre de voituriers originaires de la région
de Momignies, Beauwelz, Chimay... et des extraits d'actes où
l'on découvre, derrière les lignes, le mode de vie
de ces migrants.
|
|
|
|
|
|
|
S'il est probable que les manouvriers de la Chapelle Rablais,
au début du XIX° siècle, maniaient la hache
et la scie autant que la charrue et la faucille, ceux qui se déclaraient
"scieurs de long", retrouvés dans les archives,
étaient presque tous originaires du Forez et du Velay,
comme les maçons venaient du Limousin et les voituriers
en bois se disaient Thiérachiens.
Extraits de livres et liens externes
|
|
|
Plus de quatre cents maçons limousins retrouvés
à la Chapelle Rablais et autres lieux en Brie et alentour.
La plupart des liens proposés dans le dossier sont regroupés
ici.
Voir d'autres références à la page ...
|
|
|
Extraits d'articles de l'Encyclopédie, de la Maison Rustique,
du Patois briard etc.. sur les saisonniers venus de contrées
proches ou lointaines pour faire les moissons en Brie.
|
|
|
Fin XVIII°, début XIX° siècle, les actes
d'Etat civil révèlent des hommes originaires des
pays de l'Europe de l'Est, à la Chapelle Rablais et dans
les villages proches. Pour certains, il est spécifié
qu'ils étaient prisonniers de guerre avant de choisir de
se fixer en France. Plusieurs sont batteurs en grange.
Liste des documents sur ce sujet disponibles aux AD77 et au fonds
ancien de Provins.
|
|
|
Les activités dans le village de la Chapelle Rablais,
son gros hameau des Montils et la quinzaine d'écarts se
partageaient entre les champs et les bois. S'il est curieux que,
dans le recensement de 1836, aucun chef de famille ne se déclare
bûcheron; d'autres sources en révèlent le
grand nombre.
|
|
|
On trouvera dans cette longue page les documents d'archives
sur les forains venus s'établir aux Montils, hameau de
la Chapelle Rablais, pour la plupart originaires des lisières
de la forêt d'Othe. Ils étaient marchands de balais,
de sangsues, de bagues de Saint Hubert, mendiants quelquefois...
|
|
|
Des Lorrains du petit village d'Hargeville aux XVIII° et
XIX° siècles, à la Chapelle Rablais et Montigny
Lencoup. Quel était leur métier? Cordonnier, rémouleur
? Les actes d'Etat Civil et les extraits de généalogies
concernant ces migrants.
|
|
|
Documents sur une petite poignée de personnes originaires
de la Manche, à plus de quatre cents kilomètres
de leur lieu d'origine, dont le curé et sa famille. Hasard,
relations ?
|
|
|
Le nom de Michel Buthion est apparu en faisant des recherches
sur la petite Marie Villard, fille d'un scieur de long du Forez.
Cet ouvrier faïencier avait épousé une autre
Marie Villard, elle aussi originaire de la Loire, d'une manufactur
à une autre, il finit par se fixer à Montereau.
Il participa à la guerre de 1870 et, passant par la Chapelle
Rablais avec des volontaires et des gardes nationaux, connut une
fin tragique...
|
|
La chasse |
|
|
|
Trois
articles parus en 1892 dans le journal le Briard,
"Notes sur la Grande Propiété chez M. le comte
Greffulhe, député de Seine et Marne",
sous la plume du père Gérôme et un livret de
1891 sur la chasse et la grande propriété en Seine
et Marne.
Documents sur ce site
Liens externes
Deux livres sur la comtesse Greffulhe
Anne de Cossé Brissac:
La comtesse Greffulhe ed Perrin 1991
Laure Hillerin: La comtesse Greffulhe,
à l'ombre des Guermantes. ed Flammarion 2014
Une thèse de maîtrise:
Eric Legay, Le comte Greffulhe, un grand notable en Seine et Marne,
Nanterre 1987
|
|
|
Le "vautrait de Bois Boudran" des comtes Greffulhe
(meute de chasse au sanglier) a eu l'honneur de plusieurs articles
dans les revues spécialisées, compilés plus
tard dans des livres sur la chasse.
|
|
|
|