Cliquez sur une vignette; cette page sera
remplacée par celle que vous demandez.
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Les
passeports, page des choix
Les Archives de la mairie de la Chapelle Rablais renferment une
collection de Passeports pour l'Intérieur du XIX° siècle.
Après quelques pages d'explications, nous verrons leurs modifications
au gré des régimes politiques, puis le début
d'une étude sur les migrants qui les avaient demandés. |
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Qu'est-ce
qu'un Passeport pour l'Intérieur?
Définitions: dictionnaire de l'Académie 1694, Encyclopédie
Diderot d'Alembert, dictionnaire de Furetière. Utilisation
et historique des passeports pour l'Intérieur. |
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Les
formalités
Talon et feuille, filigrane, mari et femme, domestiques... Exemple:
le passeport d'un apprenti maréchal ferrant |
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Formalités,
suite...
Passeport pour l'Intérieur ou pour l'Etranger, exemple d'Arthur
Young, vivre sans papiers d'identité, prix , passeport pour
indigent |
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Liste
des passeports
conservés aux Archives de la Mairie de la Chapelle Rablais:
date, nom, métier, âge, lieux cités, talon ou
feuille, signature... CDrom des reproductions de ces passeports
et base de données disponible en Mairie. |
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Bibliographie
N'étant qu'un historien amateur, j'ai trop souvent oublié
de noter les sources de mes informations. Cependant, voici quelques
références d'ouvrages auxquels j'ai fait des emprunts
et les lieux où l'on peut les consulter. |
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Les
tampons,
traces des régimes politiques
Cliquez sur les vignettes
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Présentation
Les passeports, actes officiels sur papier filigrané et imprimé,
reflètent, par leurs variations, les changements de régimes
politiques; mais il est arrivé que les événements
prennent de court les secrétaires de mairie qui durent utiliser,
sous un autre régime, les papiers du gouvernement précédent.
(pages assez anciennes, très courtes) |
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L'Empire
Empereur des Français: en tête d'un passeport
de 1807 |
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L'Empire
Empereur et Roi: en tête d'un passeport de 1812 |
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La Restauration
Louis XVIII |
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Les Cent
Jours
Le retour de Napoléon en 1815 |
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La seconde
Restauration
Retour de Louis XVIII après le 18 juin 1815 |
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La Restauration
Charles X 1824/1830 |
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La Révolution
de 1830 |
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Louis
Philippe
Roi des Français 1830/1848 |
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La Révolution
de 1848 |
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Louis
Napoléon Bonaparte
Le Prince Président |
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Napoléon
III
Empereur |
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Qui
demandait un passeport?
Cliquez sur les vignettes
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Voyageurs,
itinérants, migrants
Présentation, statistiques, métiers et carte de localisation
des migrants.
Trois dossiers ont été rédigés: femmes
sur les chemins, petits métiers: Lorraine & forêt
d'Othe, les voituriers par terre des Ardennes belges. D'autres sont
en préparation. |
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Niveaux de vie
Les migrants venaient trouver dans la Brie des conditions de travail
meilleures que dans leur région d'origine. Cette carte
essaie de le montrer en complément de la page précédente.
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Scieurs de long et terrassiers du Forez
Cliquez sur les vignettes |
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Origine des scieurs et terrassiers /1
Grand nombre de scieurs de long autour du massif forestier de
Villefermoy, dont la plupart proviennent du Massif central; d'une
région restreinte entre le Forez et le Velay. Le Limousin
fournissait aussi de nombreux scieurs, mais, malgré la
présence de nombreux maçons du pays de la Marche,
aucun scieur ne les a suivis.
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Pourquoi migrer ? /2
"Ce sont de pauvres diables. Ils prennent
sur terre bien assez rude état, jamais en mon enfer scieur
de long n'entrera" Pourquoi
choisir un métier si rude, loin de son foyer ? Parce que
le pays ne pouvait pas nourrir tous ses enfants et que l'argent
était rare. Sol pauvre, climat rude, conscription, impôts,
coutumes... communs à bien des pays de migration, mais
aussi quelques particularités locales.
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Quel métier, quelle destination
? /3
Si la réponse est connue : scieur
de long en Brie, elle n'a rien d'évident car pourquoi choisir
ce métier et cette destination, alors que d'autres débouchés
auraient pu s'offrir aux montagnards du Forez, ceux que pratiquaient
d'autres migrants du Massif Central, ou ceux de l'industrie de
St Etienne, si proche ! Scieurs et terrassiers.
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Préparatifs au voyage /4
Il convient de se préparer avant
de s'aventurer pour un si long voyage et une si longue absence.
Passer chez le notaire, obtenir un justificatif d'identité,
s'assurer d'une embauche, ou partir au petit bonheur la chance
?
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Le voyage des scieurs de long /5
Quatre cent kilomètres séparent le Forez de la Brie,
à parcourir à pieds avec un baluchon qui devait
aussi comporter les outils, fort lourds... Et comment se repérer
sans panneaux, sans cartes, sans itinéraire qu'ils n'auraient
peut être pas su lire, étant pour la plupart illettrés.
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Arrivée
en Brie. Champs et forêts / 6
Le territoire de la Chapelle Rablais est partagé entre champs
et forêts qui offrent du travail aux habitants du village
mais aussi a bon nombre de saisonniers et de migrants, chaque groupe
ayant sa spécialité. Parmi ceux-ci, les Auvergnats
scieurs de long, ou terrassiers.
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Arrivée
en Brie. Où loger ?/7
Où les scieurs allaient-ils trouver à se loger. En
fait, un peu partout: chez les patrons, les paysans, la famille,
mais aussi dans des auberges au confort plus que sommaire. Et plus
rustique, dans des loges construites en forêt.
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Scier mais aussi équarrir, fendre...
/8
Le scieur était quelquefois nommé "écarisseur",
aplanissant les faces d'une grume pour mieux la scier. Car nombre
de pièces de bois dans la maison traditionnelle n'avaient
pas connu la scie... Le sciage de long se pratiquait généralement
à deux: l'un, perché sur le tronc à scie
guidait et relevait l'immense scie, l'autre, au dessous poussait
vers le bas. Quelquefois ils étaient trois; tout seul,
le scieur traversait sûrement une mauvaise passe...
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Fatigue, accident, maladie... /9
Calculs sur l'effort fourni par les équipes de scieurs
de long. Des journées sans fin où il faut débiter
les grumes à travailler le lendemain, à la nuit
tombante. Jours de repos. Mauvaise saison, pluie, neige, froid.
Maladies et accidents. Et pourtant mortalité moindre que
les autochtones.
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Un marché d'ouvrage de 1789 /10
Commentaires à partir d'un marché d'ouvrage du 15
juillet 1789 entre deux scieurs du pays de Bière (autour
de Perthes) et le "garde-vente" d'un marchand de bois
pour débiter les grumes d'une coupe en forêt de Villefermoy.
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Un
marché d'ouvrage de 1789 /11
Seconde page de commentaires (variés) sur le marché
d'ouvrage de 1789, où il est traité de possessions
religieuses en forêt et de leur confication comme bien nationaux,
de gestion de la forêt de Villefermoy sous l'ancien régime,
de construction navale et de voituriers en bois courbes... Sans
oublier quelques problèmes de variation dans les noms des
scieurs migrants...
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Un
marché d'ouvrage de 1789 /12
Troisième page de commentaires sur le marché d'ouvrage
de 1789. Avec beaucoup d'approximations, estimation des quantités
débitées, salaires, pécules... Grèves
des scieurs de long et des terrassiers.
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Patois briard et patwe forezien /13
Les scieurs et les terrassiers du Forez étaient-ils très
différents des Briards? Par les vêtements, le langage
? D'autant que les scieurs originaires du Forez et de Velay ne
parlaient pas tous le même "patwe".
Un petit paragraphe sur les châtelains, Latour Maubourg,
du château des Moyeux et la Fayette, son beau-père,
et leurs possessions dans la même région que les
scieurs.
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Relations des scieurs avec les autres
migrants
Mise au point sur les limites de cette petite enquête qui
n'a pas la prétention de révéler tous les
scieurs ayant oeuvré en Brie, mais seulement ceux qui avaient
un rapport, peut être lointain, avec la Chapelle Rablais.
Relations des scieurs entre eux, et avec d'autres groupes de migrants,
quelques tranches de vie...
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Relations
des scieurs avec les paysans / 15
Quel pouvait être le regard des autochtones sur ces migrants,
venaient-ils prendre le travail des manouvriers locaux? Quelques
éléments pour essayer de comprendre les relations
entre les groupes. Relativité des sources, manque de témoignages
locaux.
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Célibataires
et hors-mariage / 16
Célibataires, "garçons" à marier,
unions hors mariage, homosexualité... Fallait-il se marier
pour s'insérer dans le groupe villageois? Comment retrouver
les traces d'un séjour probablement prolongé avant
l'union? La surveillance du groupe des jeunes hommes sur les filles
à marier, charivari etc.
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Mariage des scieurs / 17
Le mariage, necessité pour la vie quotidienne; les enfants,
pour la vieillesse... Quelles différences entre le mariage
de locaux et celui des migrants avec les Briardes? En annexe,
plusieurs pages sur les mentions portées sur les actes,
les jours, les mois favoris ou interdits.
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Seconde
génération et fin /18
Caractères particuliers
aux scieurs de la seconde génération, par rapport
aux autochtones, mariages, tentation de l'endogamie.
Fin du métier de scieur de long, reconversions ... Appel
à l'intelligence articifielle : fin des historiens ?
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Migrants de Lorraine
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Cordonniers
et rémouleurs /1
Des Lorrains du petit village d'Hargeville aux XVIII° et XIX°
siècles, à la Chapelle Rablais et Montigny Lencoup.
Quel était leur métier? Cordonnier, rémouleur
? |
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Cordonniers
et rémouleurs/ 2
Les cordonniers et rémouleurs lorrains en Brie se révèlent
plus nombreux qu'on ne l'imaginait. Découverte tragique de
l'un d'entre eux, victime des "chauffeurs" . |
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Traces
des Lorrains
Les actes d'Etat Civil et les extraits de généalogies
concernant la présence de Lorrains dans la région
de la Chapelle Rablais
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Maçons du Limousin en Brie
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Limousins à Paris, et à
la Chapelle Rablais /1
La migration saisonnière des maçons
limousins à Paris est bien connue, mais, que venait donc
bâtir la cinquantaine de maçons limousins ayant laissé
des traces à la Chapelle Rablais, entre 1750 et 1850 (et
plus de 400 maçons limousins alentour)?
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Nombreux
maçons en Brie /2
L'enquête préfectorale sur
les migrations périodiques de 1809 révéle les
métiers des Limousins et le grand nombre de maçons
migrants en Brie. Premières traces des Limousins à
la Chapelle Rablais.
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Villages d'origine des maçons
/3
Des actes de décès montrent
que les maçons creusois de la Chapelle Rablais n'étaient
pas isolés. Villages d'origine des maçons. Rivalités
entre migrants. Brûlas et Bigaros...
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Le long voyage des maçons /4
Si le trajet des maçons limousins
vers Paris est connu, il n'en est pas de même de celui des
Creusois se rendant en Brie. Voyages en groupes. Problème
local: où était la mairie?
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Les passeports des maçons /5
Les pièces d'identité des
maçons: extrait de baptême, livret ouvrier, passeport
pour l'intérieur...
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Problèmes d'identification /6
Les variations dans les noms, les prénoms,
les villages.. peuvent poser des problèmes d'identification
des Limousins, entre leur vie de mari, père, soutien de
famille et cultivateur en Creuse et celle de maçon, célibataire,
vivant dans un monde d'hommes en Brie.
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Maisons
de Brie /7
Que venaient construire les maçons
creusois en Brie ? Première partie. Où l'on découvre
que les maçons de la campagne ne bâtissaient pas que
des bâtiments prestigieux.
Un peu d'architecture sur les maisons traditionnelles à la
Chapelle Rablais, en commençant par les fermes et les maisons
de notables. La page sur châteaux et "bricoles"
est en préparation.
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Maisons de Brie, les bricoles /8
Les petites maisons traditionnelles de
la Chapelle Rablais, exemple de la maison de l'ancien maire transformée
en école, peu après 1835.
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Pauvreté
des manouvriers, de leurs maisons/9
Pauvreté de la
majorité des habitants de la Chapelle Rablais et plus particulièrement
de ceux des Montils. Contrat pour deux petites maisons pour des
manouvriers, à construire par un Limousin en 1791.
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Evolution de la
population et du bâti /10
Evolution de la population
de la commune; modifications dans le bâti: nouvelles maisons,
augmentations et diminutions. Construction du nouveau château
sur les fondations de l'ancien. Participation des maçons
limousins?
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Prix des maisons,
salaire des maçons /11
Valeur d'une "bricole",
petite maison traditionnelle en Brie. Coût de la construction,
prix de vente...
Estimation du salaire des maçons creusois en Brie, frais
de logement et de nourriture, salaire journalier, pécule
rapporté en Limousin.
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Jean et Barthélémy
Momet /12 La
vie retrouvée de deux frères, maçons creusois
à la Chapelle Rablais, nés sous Louis XV, morts sous
Louis Philippe. Le parcours de deux Limousins qui migrèrent
chaque année pour terminer leur vie en Creuse. Première
partie: service militaire, étapes en Creuse, mariage, travail
des femmes, tentative d'émigration ... A suivre.
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Jean et Barthélémy
Momet 2 (suite) /13 Les
relations des maçons creusois avec les autochtones. Moqueries
pendant le voyage, solidarité entre maçons. Patois
des Limousins révélé par une enquête
de 1807: la parabole de l'enfant prodigue.
Jean et Barthélémy Momet, représentants d'une
première forme de migration saisonnière vers l'Ile
de France.
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Jean et Barthélémy
Momet 3 (suite) /14 Les
limousinages des maçons creusois avant et après la
Chapelle Rablais. Retour en Creuse en fin de carrière. Le
curieux calendrier de Barthélémy, son pécule
en fin de vie. Jean Momet, du maçon au cultivateur. A suivre...
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Jean et Barthélémy
Momet 4 (fin) /15
Achat d'une petite maison, puis
de terres. Du maçon au cultivateur. Répartition des
terres de Jean et Léonarde. Modes de culture en Brie et en
Creuse. "Leur âge ne leur permettant
plus de continuer l'exploitation de leurs propriétés",
ils font don de leur exploitation à leur fille. Pénibilité
du travail de maçon. Sort des veuves. Les générations
suivantes...
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Installation en Brie:
Dubreuil, Delisle, Lelong/16
Sous Napoléon I°, les maçons qui venaient limousiner
à la Chapelle Rablais, retournaient dans leurs foyers à
la mauvaise saison et terminaient leur vie près de leurs
proches, en Limousin.
Quelques années plus tard, sous Louis Philippe, la migration
changera de forme. Des Creusois quitteront leur pays d'origine
et se fixeront définitivement en Brie, ayant épousé
un Briarde.
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Jean et Pierre Boucher/17
Les ancêtres de la lignée
de maçons à la Chapelle Rablais. Vie de Jean Boucher
en Limousin et d'Elisabeth Coutant avant leur mariage en 1838. Epidémies
en Creuse. Voyage d'Elisabeth dans le tout nouveau royaume de Belgique.
Les familles recomposées.
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Jean et Pierre Boucher
2 et fin du chapitre /18
L'installation et l'intégration
des maçons creusois. Participation à la vie communale.
Evolution de l'habitat à la Chapelle Rablais. Travaux communaux.
Ce qu'ils ont bâti: leurs propres maisons, les commandes..
Fin des migrations où métier et origine sont liés.
Conclusion.
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Annexes, liens et
bibliographie
J'ai réuni dans cette
page la plupart des liens vers des pages annexes proposés
au fil des dix huit pages du dossier consacré aux traces
des maçons limousins à la Chapelle Rablais, entre
1750 et 1850. On trouvera aussi des liens vers des sites et quelques
éléments de bibliographie sur ce sujet. |
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Originaires de la Manche
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Originaires de la Manche
Documents sur une petite poignée de personnes originaires
de la Manche, à plus de quatre cents kilomètres
de leur lieu d'origine, dont le curé et sa famille. Hasard,
relations ?
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Femmes sur les chemins
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Femmes
sur les chemins
les rares femmes ayant sollicité
un passeport, couples sur les chemins... |
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Marchands
de bagues de St Hubert
& colporteurs
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Anne
Sylvie Fourrey
Ses origines, sa maison, sa turbulente famille: marchande de bagues
de St Hubert (pages assez anciennes) |
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Les
colporteurs
Véritables colporteurs et autres forains |
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Dans
la hotte du colporteur
Ce qu'ils vendaient et comment ils le vendaient. Marchandises, livres,
almanachs et "canards" |
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Les
montreurs d'images sur les foires
Autres images pieuses: les fixés sous verre |
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Qui
était Saint Hubert?
Biographie, prière à St Hubert, célébrité
de Saint Hubert, sa statue dans l'église de la Chapelle Rablais,
les Saints guérisseurs. Curieuses pratiques de soins miraculeux.
La clef de St Hubert et son usage aux Marêts, près
de Provins. La rage et la pratique de la "Taille" à
l'abbaye de St Hubert, en Belgique. |
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Le
petit théâtre de Saint Hubert
Et autres accessoires de charlatans: les colporteurs, les forains
montreurs d'images de Saint Hubert, les "hubains", mendiants
spécialisés aux portes des églises...
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La
peur du loup
Présence du loup dans nos forêts. La bête du
Gévaudan; Prières et autres pratiques superstitieuses
autour du loup.
Fin du dossier |
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Les sangsues
Les pêcheurs et marchands de sangsues: enquête avec
les élèves: théorie des humeurs, pêche
ou élevage des sangsues, leur utilisation.
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Traces des forains
On trouvera dans cette longue page les documents d'archives sur
les forains venus s'établir aux Montils, hameau de la Chapelle
Rablais, pour la plupart originaires des lisières de la
forêt d'Othe. Ils étaient marchands de balais, de
sangsues, de bagues de Saint Hubert, mendiants quelquefois...
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Les Petits Paris
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Les Petits Paris
Comme de nombreux villages d'Ile de France, la Chapelle Rablais
accueillait des bébés en nourrice, révélés
par le grand nombre de leurs décès. Combien ont
été placés dans ce petit village d'une centaine
de feux, moins de quatre cents habitants sous la Révolution;
combien ont survécu? Quelques documents sur ces migrants
malgré eux.
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Les moissonneurs
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1/ Soyeurs,
piqueurs, sapeurs ...
L'été voyait arriver des cohortes
de soyeurs, piqueurs, sapeurs, sans compter les calvarniers, venus
faire les moissons en Brie, des paroisses alentour ou de provinces
éloignées. Première page: les saisonniers de
Brie. |
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2/
Les moissonneurs migrants
La main d'oeuvre locale ne suffisant pas dans les régions
à blé du plateau de Brie, les fermiers faisaient appel
à des saisonniers venus de régions limitrophes. On
les retrouve à partir d'une enquête de 1809 |
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3/
Les soyeurs
Ces saisonniers pratiquaient la moisson à la faucille appelée
soyage. Technique, mode de vie, crainte du chômage... à
partir de textes du XIX° siècle ou des souvenirs d'un
cultivateur de Brie. |
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4/
Les piqueurs et sapeurs
Venus de régions plus lointaines, Picardie, Brabant, département
de Jemmapes, ces moissonneurs utilisaient la faux ou la sape flamande:
origine, nombre, technique... |
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5/ la paye
des moissonneurs
Quelques éléments pour évaluer le salaire que
pouvait percevoir le saisonnier venu en Brie pour la moisson. |
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6/
Faux, faucille ou sape ?
Différentes techniques pour moissonner et migrants différents
suivant les techniques. Grève de moissonneurs en 1794 et
réquisition de prisonniers de guerre. |
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7/
Batteurs en grange
Après la moisson, le battage au fléau où se
révèlent des migrants inattendus: des Polonais et
Bohémiens, anciens prisonniers des guerres de la Révolution
française, qui se sont fixés dans notre région. |
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Moissonneurs
migrants, bibliographie
Rappel des documents internes au site. Sources des archives originales
et référence des livres et articles utilisés
pour ce dossier. |
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Les
voituriers par terre de la Thiérache
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1° partie: des voituriers migrants
dans un village sans routes
Cliquez sur les vignettes |
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1/
Les voituriers par terre
Traces d'une douzaine de voituriers par terre originaires de la
Thiérache belge. Les archives d'Etat Civil à la mairie
de la Chapelle Rablais |
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2/
Voie, voiture, voiturier
Sens de ces mots sous l'Ancien Régime, voituriers par terre
et par eau, les transports avant le train, péages et octrois |
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3/
Routes et chemins
Demandes de création de chemins praticables dans la première
moitié du XIX° siècle, archives de la Chapelle
Rablais, extrait de Balzac |
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4/
La Révolution
Un projet de route sous la Révolution: ateliers de charité,
un voyageur anglais sur le marché de Nangis en 1789, le projet
et son financement. |
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5/Les
chemins anciens
Les routes autour de Nangis, les chemins pour aller de la Chapelle
Rablais aux bourgs de la région. Patache ou diligence? |
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6/
Charrette et tombereaux
Routes encombrées ou chemins déserts, les recensements
de chevaux et voitures, inventaires de fermes, cartes postales anciennes,
carte de Cassini... |
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7/
Que voituraient ces voituriers
Ayant choisi de s'installer dans un pays sans routes, sans production
particulière, que pouvaient bien voiturer la douzaine de
voituriers ? Débardage du bois? Photos du travail de débardage
dans la forêt avec des chevaux. |
2° partie: les Tirachiens,
spécialistes du débardage en Ile de France
Cliquez sur les vignettes |
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8/ Complément d'enquête
Suite du dossier sur les voituriers: les
Thiérachiens constituaient un groupe spécialisé
de transporteurs de bois. Problèmes entre migrants et riverains
des routes. Lettres patentes pour protéger les voituriers
par terre au détriment des paysans.
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9/ Le commerce du bois pour Paris
Justification de la protection des voituriers:
ils étaient chargés d'approvisionner Paris en bois.
Travaux nécessaires pour acheminer le bois jusqu'à
la capitale. Le bois de chauffage dans le "Traité
de la Police". Définition du terme "ventes"
dans le vocabulaire des Eaux et Forêts. Renaissance du bois
de moule en forêt de Villefermoy.
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10/ Le flottage
du bois
Préférence du transport par
eau par rapport au transport terrestre, exemple du canal inachevé
de Provins. Travaux préparatoires au flottage du bois. Aperçu
des techniques de flottage. Sites spécialisés. |
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11/ Le bois
sur la Haute Seine
Trafic des marchandises sur la Seine à
Melun. Flottage et batellerie. Les margotats. Seine et Yonne. Arrivée
du bois à Paris ; les ports au bois de Paris, description
et carte. |
3° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Du Hainaut à la Brie
Cliquez sur les vignettes |
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12/ La vie retrouvée des Tirachiens
Ouverture d'un nouveau -et dernier? -
chapitre sur les Tirachiens: la vie retrouvée des Tirachiens
en forêt de Villefermoy: conditions de travail, famille,
maisons, relations... à partir des documents d'archives
originaux: état civil, actes notariés et autres...
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13/ Du Hainaut à la Brie
Du travail saisonnier à la migration
de quelques familles: exemple d'une migration vers la Louisiane.
Les frontières fluctuantes du Hainaut, migration / immigration,
relations familiales entre voituriers thiérachiens etc..
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14/ Dans les forêts d'Ile de France
/1
Entre les déplacements des voituriers
de Villefermoy vers d'autres forêts de la région
et la découverte d'un autre "nid" de Tirachiens
sur la Côte d'Ile de France, un réseau de liens se
tisse.
La famille Badoulet en Brie, Picardie et Marne. Une autre branche
de la famille Nival dans la Marne. Carte des forêts fréquentées...
Liste des autres forêts d'Ile de France fournissant du bois
pour la pour la provision de Paris où l'on pourrait trouver
des Thiérachiens.
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15/ Dans les forêts d'Ile de France
/2
D'autres "nids" de Thiérachiens
dans les forêts d'Ile de France: forêts de Crécy,
Compiègne, Saint Gobain, Montargis, Retz, Villers Cotterêts,
Mortcerf ... et Chenoise, où travaillaient des "Tirachiens".
Voituriers d'une autre origine.
Fait divers : le crime de la ferme de la Hotte par des "chauffeurs",
an V de la République.
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4° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Le travail en forêt
Cliquez sur les vignettes |
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16/ Les chevaux
A la recherche, dans les documents d'archives, des chevaux utilisés
par les voituriers thiérachiens. Qualités, prix, habitudes...
Les difficultés de renouveler le cheptel à cause des
guerres de la Révolution et de l'Empire. La remonte, le placement
chez les particuliers...
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17/ Débardage et chariots
Le travail des voituriers dans les forêts:
débardage avec les chevaux, le "chariot thiérachiens"
ses caractéristiques et sa capacité. Autres débardeurs
de bois.
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18/ Quel port ?
Un port au XVIII° siècle, exemple
de Thomery. Où pouvaient se situer les ports des Thiérachiens?
L'auberge du Petit Châtelet et les chemins, dans le livre
du père Péricard sur le Châtelet en Brie,
1938. L'abbaye et le port de Barbeau. Le lieu dit la Tirache à
la Grande Paroisse. Les ports sur la Seine dans la traversée
du 77. Le port de Courbeton proche Montereau. Plan des chemins
vers les ports retrouvés sur les documents anciens sur
le fond de carte Cassini.
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19/ Travail et salaire
Imaginer la journée de travail
d'un Thiérachien et de sa famille... Estimer la "fortune"
des voituriers thiérachiens par rapport à celle
des manouvriers qu'ils fréquentaient. Paiements en nature
ou en numéraire, les frais de l'entretien d'un attelage...
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20/
Les marchands de bois
A l'opposé des Tirachiens, les marchands de bois qui les
employaient étaient fortunés et influents. Quelques
marchands de bois retrouvés dans les actes des voituriers...
... et aussi quelques marchands de charbon de bois, venus de la
forêt d'Othe en même temps que les charbonniers, moissonneurs
migrants et marchands forains.
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21/ Tirachiens et galvachers
Concurrents des Thiérachiens, les
galvachers venaient du Morvan avec leurs attelages de boeufs.
Leur migration saisonnière les amenait souvent dans les
forêts pour débarder le bois.
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22/ Bourguignons à la Chapelle Rablais
Des galvachers sont-ils passés
à la Chapelle Rablais? On a relevé la trace de Bourguignons
dans les archives de la commune, un charretier de ferme, un maréchal
ferrant, un propriétaire et son domestique et un marchand
de bestiaux dont le parcours est très éloigné
de celui des Thiérachiens.
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23/
Thiérachiens et Galvachers / suite
Page en construction dont je publie les
premiers paragraphes sur les lieux fréquentés par
les deux groupes de voituriers. Lien vers une carte plus détaillée
sur Google Maps.
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5° partie: usages et abus dans la forêt
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24/ Les métiers de la forêt
Les relations des voituriers thiérachiens
avec les autres travailleurs de bois: scieurs de long, bûcherons,
charbonniers... et les artisans du cheval: maréchal ferrant,
charron, bourrelier... Métiers à la Chapelle Rablais
dans le recensement de 1836.
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25/
Us et abus dans la forêt
Où l'on parle de bois de chauffage,
de glandage, de chasse et de braconnage, de bestiaux dévasteurs
de forêts... et autres petites malversations par les paysans,
les manouvriers et aussi les voituriers.
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26/
Us et abus sous la Révolution
D'autres infractions dans les forêts;
la menace des armes... Abattage et transport sauvages sous la Révolution,
protestations des marchands de bois.
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6° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Maison et famille
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27/ Voituriers, paysans, nomades et sédentaires
Tirachiens, Tiraloups, bohémiens,
hommes des bois, braconniers, voleurs de poules, trousseurs de
jupons, que sais- je encore? Quelle réputation pouvait
précéder ou suivre les groupes de forestiers thiérachiens?
Et quel accueil ont pu leur réserver les paysans de Brie?
Mobilité, immobilité des autochtones. Bergers et
batteur en grange...
Dialectes et patois: la parabole de l'Enfant prodigue retranscrite
en divers idiomes au début du XIX° siècle.
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28/
Camping à la ferme et tables d'hôtes
Travail saisonnier en Brie tout en restant
domicilié dans le Hainaut; conditions de logement des hommes,
les femmes étant restées au Pays. Auberges et loges.
Concentration de voituriers dans le hameau des Trois Chevaux de
la Chapelle Gauthier.
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29/ Du nomade au résident
Plaintes contre les insaisissables voituriers,
l'une des raisons qui ont fait qu'ils ont choisi de se fixer en
Brie. Inventaires d'une petite maison de célibataire tirachien,
d'une famille de voituriers et d'une ferme des Montils possédée
par un riche bourgeois. Modes de vie reflétant des époques
différentes.
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30 / Epouses et enfants
S'installant en Brie, les Tirachiens ont
pris épouse. Quelques épisodes de vie conjugale
entre Thiérachiens et Briardes: traditions d'épousailles,
mariages multiples, conscrits sous la Révolution. Mariages
hors paroisse en 1750 et 1800...
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31 / Epouses et enfants 2
D'autres épisodes de vie conjugale
entre Thiérachiens et Briardes: veufs et veuves, pauvreté
partagée, les enfants des voituriers, quelques conceptions
hors mariage, etc..
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Documents
sur les voituriers thiérachiens |
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Traces
des voituriers
Pour donner un petit coup de pouce aux généalogistes,
car retrouver un ancêtre migrant n'est pas des plus aisés,
j'ai résumé les actes authentiques qui révèlent
la présence en Brie de nombreux voituriers originaires de
la Thiérache belge. Des liens vers quelques extraits d'actes
notariés révélateurs de leur mode de vie sont
proposés. (plus de deux cent cinquante pages papier) |
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Traces
des voituriers / résumé
Brève notice pour chaque voiturier
en bois découvert dans les documents d'archives. Les sources
sont détaillées dans les pages "Traces des voituriers".
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Le
département de Jemappes
Bataille de Jemappes, général
du Taillis. Divisions administratives sous l'Ancien Régime
, création des départements en 1790. Création
du département de Seine et Marne. Les départements
sous Napoléon I°...
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Les
documents
Page des choix des documents sur la Chapelle
Rablais ou les travailleurs migrants retrouvés dans les archives
de la Mairie. De nombreux documents sur les voituriers thiérachiens. |
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Curés
briards et paroissiens |
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Essayer de retrouver la vie d'Etienne
Fare Charles Huvier, curé de campagne au milieu du XVIII°
siècle au travers des traces qu'il a laissées, dont
de nombreuses notes dans les marges des registres paroissiaux.
Découvrir aussi ses paroissiens, et les autres curés
de la Chapelle Rablais jusqu'à la Révolution et
au delà...
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Personnages,
biographies |
Les deux vies des frères Grandjean
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Deux
frères inséparables, oculistes royaux, propriétaires
des Moulineaux à la fin du XVIII° siècle. Où
l'on découvre leur vie publique très édifiante
et certains aspects de leur vie privée qui ont inspiré
un conte -peu moral- du célèbre Restif de la Bretonne. |
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A
la recherche du portrait d'Henriette "Grandjean", fille
et concubine des deux oculistes. Des recherches et des compléments
d'information. |
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Le texte des nouvelles de Restif de la Bretonne où l'on
retrouve les membres de la famille Grandjean: "Sanseverote
Rustane batarde filleule maîtresse" et "La Mère
- Gâteau"
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Zones d'ombre dans la vie d'Etienne Labarre
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Il
y a deux cents ans, Etienne Labarre était marchand de bois
en forêt de Villefermoy. Il fut aussi huissier de justice
à la Martinique, bourgeois de Paris, hobereau au Châtelet
en Brie où il fut aussi juge de paix et administrateur du
département, sous la Révolution. Il se brouilla probablement
avec son père, se fâcha avec sa femme, son fils, son
associé ... Bref, un personnage public aux nombreuses zones
d'ombre.
Première partie: fils d'un marchand de bois pour la provision
de Paris et huissier à la Martinique |
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Deuxième
partie: retour en France, marchand de bois en forêt de Villefermoy
et châtelain de Bois Louis au Châtelet en Brie. |
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Troisième partie:
chicanes judiciaires et familiales.
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Adolphe de la Rüe, inspecteur de la
forêt de Villefermoy |
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Quelques
facettes de la personnalité d'Adolphe de la Rüe, dynamique
Inspecteur de la forêt de Villefermoy sous Napoléon
III, qui aurait pu habiter le château de la Chapelle Gauthier
s'il n'avait pas établi sa résidence à Courgousson.
A retrouver: sa recette du Hâtelet de lapin à la Villefermoy
!
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Eléonore Vergeot, châtelaine
des Moyeux |
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Eléonore Vergeot, châtelaine des
Moyeux sous le second Empire, connut Louis Napoléon Bonaparte
lorsqu'il était prisonnier au fort de Ham où elle
fut engagée comme lingère. Elle repassa si bien
qu'elle donna deux enfants au futur empereur Napoléon III...
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Michel Buthion, simple ouvrier faïencier |
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Le
nom de Michel Buthion est apparu en faisant des recherches sur la
petite Marie Villard, fille d'un scieur de long du Forez. Cet ouvrier
faïencier avait épousé une autre Marie Villard,
elle aussi originaire de la Loire, d'une manufacture à une
autre, il finit par se fixer à Montereau. Il participa à
la guerre de 1870 et, passant par la Chapelle Rablais avec des volontaires
et des gardes nationaux, connut une fin tragique... |
Paysans et riches chasseurs
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Sur même territoire vivaient des paysans tirant leurs revenus
de leurs champs et des marchands de bois, des chasseurs souhaitant
l'accroissement des forêts. Leur cohabitation ne se fit
pas sans heurts: on en trouve traces dans les archives du petit
village de la Chapelle Rablais, en Brie, depuis le règne
de Louis XIV jusqu'à l'orée du XX° siècle...
1° partie: la Chapelle Rablais dans la Capitainerie de Fontainebleau.
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2° partie: les contraintes de chasse dans la Capitainerie
de Fontainebleau, territoire réservé au Roi. La
chasse étant interdite aux paysans, ces contraintes s'appliquaient
aux possesseurs des bois. D'où baisse de la valeurs de
leurs terres et disparition de hameaux.
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3° partie: les paysans et la chasse. La chasse était
réservée aux privilégiés, cependant
le braconnage était tentant. Les gardes des Plaisirs du
Roi, les sanctions, le gibier vendu aux rôtisseurs ...
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4° partie: le gibier avant l'homme. Dans l'étendue
de la Capitainerie de Fontainebleau, où la Chapelle Rablais
était englobée, il ne fallait évidemment
pas porter atteinte au gibier, réservé aux chasses
royales; il ne fallait pas non plus en gêner la croissance.
Le gibier dévastateur, les lapins "vermine des bois",
les contraintes de culture...
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5° partie: champs ou forêts. La baisse de valeur des
terres agricoles à la Chapelle Rablais à cause de
la Capitainerie et le goût pour la chasse poussa les riches
propriétaires à abandonner des terres agricoles
pour les transformer en bois, agrandissant ainsi leur territoire
de chasse. Les protestations des paysans, l'extension des bois
au XIX° siècle.
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6° partie: 1841 chasse à courre en forêt de
Villefermoy. Les deux fils de Louis Philippe participèrent
à une chasse à courre en forêt de Fontainebleau,
puis de Villefermoy, le 13 juillet 1841 qui leur fit traverser
l'ancienne Capitainerie presque de part en part, jusqu'à
la limite sud de la forêt de Villefermoy.
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7° partie: chasses chez le comte Greffulhe (1° page).
Présentation du comte Greffulhe, de ses ambitions politiques,
en opposition au "père Gérôme",
journaliste au Briard de Provins qui dénonça les
pratiques très personnelles du châtelain de Bois
Boudran, concernant la chasse.
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8° partie: chasses
chez le comte Greffulhe (2° page) |
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9° partie: chasses
chez le comte Greffulhe (3° page) |
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10° partie: chasses
chez le comte Greffulhe (4° page) |
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11°
partie : chasseurs à Villefermoy sous le second Empire, à
la recherche du château détruit de la Maison Rouge
1
Les Bouleaux, famille Tamisier, famille Tattet |
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12°
partie : chasseurs à Villefermoy sous le second Empire, à
la recherche du château détruit de la Maison Rouge
2
Alexandre Tattet, le prince Jérôme Bonaparte, l'Inspecteur
des forêts Alphonse de la Rüe... |
Bonus
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Histoire du canal royal qui devait relier la ville de Provins
à la Seine. Entre la fin de la Renaissance et le milieu
du XIX° siècle, des projets pour rendre la Voulzie
navigable, dont celui de Vauban... Une partie de l'histoire de
Provins bien oubliée, dont il reste cependant des vestiges.
(Plan du chapitre consacré au canal de Provins)
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A
suivre
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Autres
provinces
les itinérants: marchands et artisans: vendeurs de bestiaux
et de graines, ramoneurs, émouleurs, cordonniers, tailleurs... |
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Les
voyageurs sans passeport
les soldats, les domestiques, les bébés en nourrice
dont on retrouvera la trace dans d'autres documents |
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Le choléra de 1832 en Brie. |
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