page d'accueil

Plan du site
Passeports pour l'Intérieur et migrants
Biographies et autres recherches

  Page des choix, présentation
  Les tampons, traces des régimes politiques
 Qui demandait un passeport?
    Voyageurs, itinérants, migrants: présentation
    Femmes sur les chemins
    Colporteurs & marchands de bagues de St Hubert
    Voituriers par terre de la Thiérache
    Maçons du Limousin
    Moissonneurs migrants
    Lorraine: cordonniers et colporteurs
  Nouveau: scieurs de long et terrassiers du Forez et alentour
    Originaires de la Manche
    Les Petits Paris
 
 Nouveau : Curés et paroissiens briards à la fin du XVIII° siècle
    Curés et paroissiens, page des choix
    Etienne Fare Charles Huvier, curé à la Chapelle Rablais
    Présentation d'homme vivant et mourant
    Documents sur les curés à la Chapelle Rablais
 
 Personnages, biographies
    Les deux vies des frères Grandjean
    Etienne Labarre, marchand de bois et juge de paix
    Adolphe de la Rüe, inspecteur de la forêt de Villefermoy
    Eleonore Vergeot, châtelaine des Moyeux
    Michel Buthion, simple ouvrier faïencier
 
 Relations paysans / riches propriétaires de forêts
    La Chapelle Rablais dans la Capitainerie de Fontainebleau
    Champs ou forêts, évolution au XIX° siècle
    Chasse à courre dans la forêt de Villefermoy 1841
    Les chasses du comte Greffulhe 1892
    Chasses à Villefermoy sous le second Empire
 
  La forêt des origines, création du village au Moyen Age (plan)
 
  Les documents sur la Chapelle Rablais ou les migrants
 
  Bonus: atelier Patrimoine et généalogie / Le Canal de Provins
 
  Projets

Cliquez sur une vignette; cette page sera remplacée par celle que vous demandez.

 

  Les passeports, page des choix
Les Archives de la mairie de la Chapelle Rablais renferment une collection de Passeports pour l'Intérieur du XIX° siècle. Après quelques pages d'explications, nous verrons leurs modifications au gré des régimes politiques, puis le début d'une étude sur les migrants qui les avaient demandés.
Qu'est-ce qu'un Passeport pour l'Intérieur?
Définitions: dictionnaire de l'Académie 1694, Encyclopédie Diderot d'Alembert, dictionnaire de Furetière. Utilisation et historique des passeports pour l'Intérieur.
 
Les formalités
Talon et feuille, filigrane, mari et femme, domestiques... Exemple: le passeport d'un apprenti maréchal ferrant
 
Formalités, suite...
Passeport pour l'Intérieur ou pour l'Etranger, exemple d'Arthur Young, vivre sans papiers d'identité, prix , passeport pour indigent
 
Liste des passeports
conservés aux Archives de la Mairie de la Chapelle Rablais: date, nom, métier, âge, lieux cités, talon ou feuille, signature... CDrom des reproductions de ces passeports et base de données disponible en Mairie.
 
Bibliographie
N'étant qu'un historien amateur, j'ai trop souvent oublié de noter les sources de mes informations. Cependant, voici quelques références d'ouvrages auxquels j'ai fait des emprunts et les lieux où l'on peut les consulter.
 
 

  Les tampons,
traces des régimes politiques

Cliquez sur les vignettes

 
Présentation
Les passeports, actes officiels sur papier filigrané et imprimé, reflètent, par leurs variations, les changements de régimes politiques; mais il est arrivé que les événements prennent de court les secrétaires de mairie qui durent utiliser, sous un autre régime, les papiers du gouvernement précédent. (pages assez anciennes, très courtes)
L'Empire
Empereur des Français: en tête d'un passeport de 1807
L'Empire
Empereur et Roi: en tête d'un passeport de 1812
La Restauration
Louis XVIII
Les Cent Jours
Le retour de Napoléon en 1815
La seconde Restauration
Retour de Louis XVIII après le 18 juin 1815
La Restauration
Charles X 1824/1830
La Révolution de 1830
Louis Philippe
Roi des Français 1830/1848
La Révolution de 1848
Louis Napoléon Bonaparte
Le Prince Président
Napoléon III
Empereur
 
 

  Qui demandait un passeport?

Cliquez sur les vignettes

 
Voyageurs, itinérants, migrants
Présentation, statistiques, métiers et carte de localisation des migrants.
Trois dossiers ont été rédigés: femmes sur les chemins, petits métiers: Lorraine & forêt d'Othe, les voituriers par terre des Ardennes belges. D'autres sont en préparation.
 

Niveaux de vie
Les migrants venaient trouver dans la Brie des conditions de travail meilleures que dans leur région d'origine. Cette carte essaie de le montrer en complément de la page précédente.

 

Scieurs de long et terrassiers du Forez

Cliquez sur les vignettes

 

Origine des scieurs et terrassiers /1
Grand nombre de scieurs de long autour du massif forestier de Villefermoy, dont la plupart proviennent du Massif central; d'une région restreinte entre le Forez et le Velay. Le Limousin fournissait aussi de nombreux scieurs, mais, malgré la présence de nombreux maçons du pays de la Marche, aucun scieur ne les a suivis.

 

 

Pourquoi migrer ? /2
"Ce sont de pauvres diables. Ils prennent sur terre bien assez rude état, jamais en mon enfer scieur de long n'entrera" Pourquoi choisir un métier si rude, loin de son foyer ? Parce que le pays ne pouvait pas nourrir tous ses enfants et que l'argent était rare. Sol pauvre, climat rude, conscription, impôts, coutumes... communs à bien des pays de migration, mais aussi quelques particularités locales.

 

 

Quel métier, quelle destination ? /3
Si la réponse est connue : scieur de long en Brie, elle n'a rien d'évident car pourquoi choisir ce métier et cette destination, alors que d'autres débouchés auraient pu s'offrir aux montagnards du Forez, ceux que pratiquaient d'autres migrants du Massif Central, ou ceux de l'industrie de St Etienne, si proche ! Scieurs et terrassiers.

 

 

Préparatifs au voyage /4
Il convient de se préparer avant de s'aventurer pour un si long voyage et une si longue absence. Passer chez le notaire, obtenir un justificatif d'identité, s'assurer d'une embauche, ou partir au petit bonheur la chance ?

 

 

Le voyage des scieurs de long /5
Quatre cent kilomètres séparent le Forez de la Brie, à parcourir à pieds avec un baluchon qui devait aussi comporter les outils, fort lourds... Et comment se repérer sans panneaux, sans cartes, sans itinéraire qu'ils n'auraient peut être pas su lire, étant pour la plupart illettrés.

 

 

Arrivée en Brie. Champs et forêts / 6
Le territoire de la Chapelle Rablais est partagé entre champs et forêts qui offrent du travail aux habitants du village mais aussi a bon nombre de saisonniers et de migrants, chaque groupe ayant sa spécialité. Parmi ceux-ci, les Auvergnats scieurs de long, ou terrassiers.

 

 

Arrivée en Brie. Où loger ?/7
Où les scieurs allaient-ils trouver à se loger. En fait, un peu partout: chez les patrons, les paysans, la famille, mais aussi dans des auberges au confort plus que sommaire. Et plus rustique, dans des loges construites en forêt.

 

 

Scier mais aussi équarrir, fendre... /8
Le scieur était quelquefois nommé "écarisseur", aplanissant les faces d'une grume pour mieux la scier. Car nombre de pièces de bois dans la maison traditionnelle n'avaient pas connu la scie... Le sciage de long se pratiquait généralement à deux: l'un, perché sur le tronc à scie guidait et relevait l'immense scie, l'autre, au dessous poussait vers le bas. Quelquefois ils étaient trois; tout seul, le scieur traversait sûrement une mauvaise passe...

 

 

Fatigue, accident, maladie... /9
Calculs sur l'effort fourni par les équipes de scieurs de long. Des journées sans fin où il faut débiter les grumes à travailler le lendemain, à la nuit tombante. Jours de repos. Mauvaise saison, pluie, neige, froid. Maladies et accidents. Et pourtant mortalité moindre que les autochtones.

 

 

Un marché d'ouvrage de 1789 /10
Commentaires à partir d'un marché d'ouvrage du 15 juillet 1789 entre deux scieurs du pays de Bière (autour de Perthes) et le "garde-vente" d'un marchand de bois pour débiter les grumes d'une coupe en forêt de Villefermoy.

 

 

Un marché d'ouvrage de 1789 /11
Seconde page de commentaires (variés) sur le marché d'ouvrage de 1789, où il est traité de possessions religieuses en forêt et de leur confication comme bien nationaux, de gestion de la forêt de Villefermoy sous l'ancien régime, de construction navale et de voituriers en bois courbes... Sans oublier quelques problèmes de variation dans les noms des scieurs migrants...

 

 

Un marché d'ouvrage de 1789 /12
Troisième page de commentaires sur le marché d'ouvrage de 1789. Avec beaucoup d'approximations, estimation des quantités débitées, salaires, pécules... Grèves des scieurs de long et des terrassiers.

 

 

Patois briard et patwe forezien /13
Les scieurs et les terrassiers du Forez étaient-ils très différents des Briards? Par les vêtements, le langage ? D'autant que les scieurs originaires du Forez et de Velay ne parlaient pas tous le même "patwe".
Un petit paragraphe sur les châtelains, Latour Maubourg, du château des Moyeux et la Fayette, son beau-père, et leurs possessions dans la même région que les scieurs.

 

 

Relations des scieurs avec les autres migrants
Mise au point sur les limites de cette petite enquête qui n'a pas la prétention de révéler tous les scieurs ayant oeuvré en Brie, mais seulement ceux qui avaient un rapport, peut être lointain, avec la Chapelle Rablais.
Relations des scieurs entre eux, et avec d'autres groupes de migrants, quelques tranches de vie...

 

 

Relations des scieurs avec les paysans / 15
Quel pouvait être le regard des autochtones sur ces migrants, venaient-ils prendre le travail des manouvriers locaux? Quelques éléments pour essayer de comprendre les relations entre les groupes. Relativité des sources, manque de témoignages locaux.

 

 

 

Célibataires et hors-mariage / 16
Célibataires, "garçons" à marier, unions hors mariage, homosexualité... Fallait-il se marier pour s'insérer dans le groupe villageois? Comment retrouver les traces d'un séjour probablement prolongé avant l'union? La surveillance du groupe des jeunes hommes sur les filles à marier, charivari etc.

 

 

 

Mariage des scieurs / 17
Le mariage, necessité pour la vie quotidienne; les enfants, pour la vieillesse... Quelles différences entre le mariage de locaux et celui des migrants avec les Briardes? En annexe, plusieurs pages sur les mentions portées sur les actes, les jours, les mois favoris ou interdits.

 

 

Seconde génération et fin /18

Caractères particuliers aux scieurs de la seconde génération, par rapport aux autochtones, mariages, tentation de l'endogamie.
Fin du métier de scieur de long, reconversions ... Appel à l'intelligence articifielle : fin des historiens ?

     
     
 

Migrants de Lorraine

Cliquez sur les vignettes

 
Cordonniers et rémouleurs /1
Des Lorrains du petit village d'Hargeville aux XVIII° et XIX° siècles, à la Chapelle Rablais et Montigny Lencoup. Quel était leur métier? Cordonnier, rémouleur ?
 
Cordonniers et rémouleurs/ 2
Les cordonniers et rémouleurs lorrains en Brie se révèlent plus nombreux qu'on ne l'imaginait. Découverte tragique de l'un d'entre eux, victime des "chauffeurs" .
 

Traces des Lorrains
Les actes d'Etat Civil et les extraits de généalogies concernant la présence de Lorrains dans la région de la Chapelle Rablais

 

 

Maçons du Limousin en Brie

Cliquez sur les vignettes

 

Limousins à Paris, et à la Chapelle Rablais /1
La migration saisonnière des maçons limousins à Paris est bien connue, mais, que venait donc bâtir la cinquantaine de maçons limousins ayant laissé des traces à la Chapelle Rablais, entre 1750 et 1850 (et plus de 400 maçons limousins alentour)?

 

 

Nombreux maçons en Brie /2
L'enquête préfectorale sur les migrations périodiques de 1809 révéle les métiers des Limousins et le grand nombre de maçons migrants en Brie. Premières traces des Limousins à la Chapelle Rablais.

 

 

Villages d'origine des maçons /3
Des actes de décès montrent que les maçons creusois de la Chapelle Rablais n'étaient pas isolés. Villages d'origine des maçons. Rivalités entre migrants. Brûlas et Bigaros...

 

 

Le long voyage des maçons /4
Si le trajet des maçons limousins vers Paris est connu, il n'en est pas de même de celui des Creusois se rendant en Brie. Voyages en groupes. Problème local: où était la mairie?

 

 

Les passeports des maçons /5
Les pièces d'identité des maçons: extrait de baptême, livret ouvrier, passeport pour l'intérieur...

 

 

 

Problèmes d'identification /6
Les variations dans les noms, les prénoms, les villages.. peuvent poser des problèmes d'identification des Limousins, entre leur vie de mari, père, soutien de famille et cultivateur en Creuse et celle de maçon, célibataire, vivant dans un monde d'hommes en Brie.

 

 

Maisons de Brie /7
Que venaient construire les maçons creusois en Brie ? Première partie. Où l'on découvre que les maçons de la campagne ne bâtissaient pas que des bâtiments prestigieux.
Un peu d'architecture sur les maisons traditionnelles à la Chapelle Rablais, en commençant par les fermes et les maisons de notables. La page sur châteaux et "bricoles" est en préparation.

 

 

Maisons de Brie, les bricoles /8
Les petites maisons traditionnelles de la Chapelle Rablais, exemple de la maison de l'ancien maire transformée en école, peu après 1835.

 

 

  Pauvreté des manouvriers, de leurs maisons/9

Pauvreté de la majorité des habitants de la Chapelle Rablais et plus particulièrement de ceux des Montils. Contrat pour deux petites maisons pour des manouvriers, à construire par un Limousin en 1791.

  Evolution de la population et du bâti /10

Evolution de la population de la commune; modifications dans le bâti: nouvelles maisons, augmentations et diminutions. Construction du nouveau château sur les fondations de l'ancien. Participation des maçons limousins?

 

  Prix des maisons, salaire des maçons /11

Valeur d'une "bricole", petite maison traditionnelle en Brie. Coût de la construction, prix de vente...
Estimation du salaire des maçons creusois en Brie, frais de logement et de nourriture, salaire journalier, pécule rapporté en Limousin.

 

  Jean et Barthélémy Momet /12

La vie retrouvée de deux frères, maçons creusois à la Chapelle Rablais, nés sous Louis XV, morts sous Louis Philippe. Le parcours de deux Limousins qui migrèrent chaque année pour terminer leur vie en Creuse. Première partie: service militaire, étapes en Creuse, mariage, travail des femmes, tentative d'émigration ... A suivre.

 

  Jean et Barthélémy Momet 2 (suite) /13

Les relations des maçons creusois avec les autochtones. Moqueries pendant le voyage, solidarité entre maçons. Patois des Limousins révélé par une enquête de 1807: la parabole de l'enfant prodigue.
Jean et Barthélémy Momet, représentants d'une première forme de migration saisonnière vers l'Ile de France.


  Jean et Barthélémy Momet 3 (suite) /14

Les limousinages des maçons creusois avant et après la Chapelle Rablais. Retour en Creuse en fin de carrière. Le curieux calendrier de Barthélémy, son pécule en fin de vie. Jean Momet, du maçon au cultivateur. A suivre...

 

 

Jean et Barthélémy Momet 4 (fin) /15

Achat d'une petite maison, puis de terres. Du maçon au cultivateur. Répartition des terres de Jean et Léonarde. Modes de culture en Brie et en Creuse. "Leur âge ne leur permettant plus de continuer l'exploitation de leurs propriétés", ils font don de leur exploitation à leur fille. Pénibilité du travail de maçon. Sort des veuves. Les générations suivantes...

 

 

Installation en Brie:
Dubreuil, Delisle, Lelong/16

Sous Napoléon I°, les maçons qui venaient limousiner à la Chapelle Rablais, retournaient dans leurs foyers à la mauvaise saison et terminaient leur vie près de leurs proches, en Limousin.
Quelques années plus tard, sous Louis Philippe, la migration changera de forme. Des Creusois quitteront leur pays d'origine et se fixeront définitivement en Brie, ayant épousé un Briarde.

 

 

Jean et Pierre Boucher/17

Les ancêtres de la lignée de maçons à la Chapelle Rablais. Vie de Jean Boucher en Limousin et d'Elisabeth Coutant avant leur mariage en 1838. Epidémies en Creuse. Voyage d'Elisabeth dans le tout nouveau royaume de Belgique. Les familles recomposées.

 

 

Jean et Pierre Boucher 2 et fin du chapitre /18

L'installation et l'intégration des maçons creusois. Participation à la vie communale. Evolution de l'habitat à la Chapelle Rablais. Travaux communaux. Ce qu'ils ont bâti: leurs propres maisons, les commandes..
Fin des migrations où métier et origine sont liés. Conclusion.

 

 

Annexes, liens et bibliographie

J'ai réuni dans cette page la plupart des liens vers des pages annexes proposés au fil des dix huit pages du dossier consacré aux traces des maçons limousins à la Chapelle Rablais, entre 1750 et 1850. On trouvera aussi des liens vers des sites et quelques éléments de bibliographie sur ce sujet.

     

Originaires de la Manche

Cliquez sur les vignettes

 

Originaires de la Manche
Documents sur une petite poignée de personnes originaires de la Manche, à plus de quatre cents kilomètres de leur lieu d'origine, dont le curé et sa famille. Hasard, relations ?

 

Femmes sur les chemins

Cliquez sur les vignettes

 
Femmes sur les chemins
les rares femmes ayant sollicité un passeport, couples sur les chemins...
 
   
 

  Marchands de bagues de St Hubert
& colporteurs

Cliquez sur les vignettes

 
Anne Sylvie Fourrey
Ses origines, sa maison, sa turbulente famille: marchande de bagues de St Hubert (pages assez anciennes)
 
Les colporteurs
Véritables colporteurs et autres forains
 
Dans la hotte du colporteur
Ce qu'ils vendaient et comment ils le vendaient. Marchandises, livres, almanachs et "canards"
 
Les montreurs d'images sur les foires
Autres images pieuses: les fixés sous verre
 
Qui était Saint Hubert?
Biographie, prière à St Hubert, célébrité de Saint Hubert, sa statue dans l'église de la Chapelle Rablais, les Saints guérisseurs. Curieuses pratiques de soins miraculeux. La clef de St Hubert et son usage aux Marêts, près de Provins. La rage et la pratique de la "Taille" à l'abbaye de St Hubert, en Belgique.
 
Le petit théâtre de Saint Hubert
Et autres accessoires de charlatans: les colporteurs, les forains montreurs d'images de Saint Hubert, les "hubains", mendiants spécialisés aux portes des églises...
 
La peur du loup
Présence du loup dans nos forêts. La bête du Gévaudan; Prières et autres pratiques superstitieuses autour du loup.
Fin du dossier
 

Les sangsues
Les pêcheurs et marchands de sangsues: enquête avec les élèves: théorie des humeurs, pêche ou élevage des sangsues, leur utilisation.

 

Traces des forains
On trouvera dans cette longue page les documents d'archives sur les forains venus s'établir aux Montils, hameau de la Chapelle Rablais, pour la plupart originaires des lisières de la forêt d'Othe. Ils étaient marchands de balais, de sangsues, de bagues de Saint Hubert, mendiants quelquefois...

 

Les Petits Paris

Cliquez sur les vignettes

 

Les Petits Paris
Comme de nombreux villages d'Ile de France, la Chapelle Rablais accueillait des bébés en nourrice, révélés par le grand nombre de leurs décès. Combien ont été placés dans ce petit village d'une centaine de feux, moins de quatre cents habitants sous la Révolution; combien ont survécu? Quelques documents sur ces migrants malgré eux.

 

Les moissonneurs

Cliquez sur les vignettes

 
1/ Soyeurs, piqueurs, sapeurs ...
L'été voyait arriver des cohortes de soyeurs, piqueurs, sapeurs, sans compter les calvarniers, venus faire les moissons en Brie, des paroisses alentour ou de provinces éloignées. Première page: les saisonniers de Brie.
 
2/ Les moissonneurs migrants
La main d'oeuvre locale ne suffisant pas dans les régions à blé du plateau de Brie, les fermiers faisaient appel à des saisonniers venus de régions limitrophes. On les retrouve à partir d'une enquête de 1809
 
3/ Les soyeurs
Ces saisonniers pratiquaient la moisson à la faucille appelée soyage. Technique, mode de vie, crainte du chômage... à partir de textes du XIX° siècle ou des souvenirs d'un cultivateur de Brie.
 
4/ Les piqueurs et sapeurs
Venus de régions plus lointaines, Picardie, Brabant, département de Jemmapes, ces moissonneurs utilisaient la faux ou la sape flamande: origine, nombre, technique...
  5/ la paye des moissonneurs
Quelques éléments pour évaluer le salaire que pouvait percevoir le saisonnier venu en Brie pour la moisson.
 
6/ Faux, faucille ou sape ?
Différentes techniques pour moissonner et migrants différents suivant les techniques. Grève de moissonneurs en 1794 et réquisition de prisonniers de guerre.
 
7/ Batteurs en grange
Après la moisson, le battage au fléau où se révèlent des migrants inattendus: des Polonais et Bohémiens, anciens prisonniers des guerres de la Révolution française, qui se sont fixés dans notre région.
 
Moissonneurs migrants, bibliographie
Rappel des documents internes au site. Sources des archives originales et référence des livres et articles utilisés pour ce dossier.
 

  Les voituriers par terre de la Thiérache

1° partie: des voituriers migrants
dans un village sans routes

Cliquez sur les vignettes

 
1/ Les voituriers par terre
Traces d'une douzaine de voituriers par terre originaires de la Thiérache belge. Les archives d'Etat Civil à la mairie de la Chapelle Rablais
 
2/ Voie, voiture, voiturier
Sens de ces mots sous l'Ancien Régime, voituriers par terre et par eau, les transports avant le train, péages et octrois
 
3/ Routes et chemins
Demandes de création de chemins praticables dans la première moitié du XIX° siècle, archives de la Chapelle Rablais, extrait de Balzac
 
4/ La Révolution
Un projet de route sous la Révolution: ateliers de charité, un voyageur anglais sur le marché de Nangis en 1789, le projet et son financement.
 
5/Les chemins anciens
Les routes autour de Nangis, les chemins pour aller de la Chapelle Rablais aux bourgs de la région. Patache ou diligence?
 
6/ Charrette et tombereaux
Routes encombrées ou chemins déserts, les recensements de chevaux et voitures, inventaires de fermes, cartes postales anciennes, carte de Cassini...
 
7/ Que voituraient ces voituriers
Ayant choisi de s'installer dans un pays sans routes, sans production particulière, que pouvaient bien voiturer la douzaine de voituriers ? Débardage du bois? Photos du travail de débardage dans la forêt avec des chevaux.

 

2° partie: les Tirachiens,
spécialistes du débardage en Ile de France

Cliquez sur les vignettes

 

8/ Complément d'enquête
Suite du dossier sur les voituriers: les Thiérachiens constituaient un groupe spécialisé de transporteurs de bois. Problèmes entre migrants et riverains des routes. Lettres patentes pour protéger les voituriers par terre au détriment des paysans.

 

 

9/ Le commerce du bois pour Paris
Justification de la protection des voituriers: ils étaient chargés d'approvisionner Paris en bois. Travaux nécessaires pour acheminer le bois jusqu'à la capitale. Le bois de chauffage dans le "Traité de la Police". Définition du terme "ventes" dans le vocabulaire des Eaux et Forêts. Renaissance du bois de moule en forêt de Villefermoy.

 

 
10/ Le flottage du bois
Préférence du transport par eau par rapport au transport terrestre, exemple du canal inachevé de Provins. Travaux préparatoires au flottage du bois. Aperçu des techniques de flottage. Sites spécialisés.
 
11/ Le bois sur la Haute Seine
Trafic des marchandises sur la Seine à Melun. Flottage et batellerie. Les margotats. Seine et Yonne. Arrivée du bois à Paris ; les ports au bois de Paris, description et carte.

 

3° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Du Hainaut à la Brie

Cliquez sur les vignettes

 

12/ La vie retrouvée des Tirachiens
Ouverture d'un nouveau -et dernier? - chapitre sur les Tirachiens: la vie retrouvée des Tirachiens en forêt de Villefermoy: conditions de travail, famille, maisons, relations... à partir des documents d'archives originaux: état civil, actes notariés et autres...

 

13/ Du Hainaut à la Brie
Du travail saisonnier à la migration de quelques familles: exemple d'une migration vers la Louisiane. Les frontières fluctuantes du Hainaut, migration / immigration, relations familiales entre voituriers thiérachiens etc..

 

14/ Dans les forêts d'Ile de France /1
Entre les déplacements des voituriers de Villefermoy vers d'autres forêts de la région et la découverte d'un autre "nid" de Tirachiens sur la Côte d'Ile de France, un réseau de liens se tisse.
La famille Badoulet en Brie, Picardie et Marne. Une autre branche de la famille Nival dans la Marne. Carte des forêts fréquentées... Liste des autres forêts d'Ile de France fournissant du bois pour la pour la provision de Paris où l'on pourrait trouver des Thiérachiens.

 

 

15/ Dans les forêts d'Ile de France /2
D'autres "nids" de Thiérachiens dans les forêts d'Ile de France: forêts de Crécy, Compiègne, Saint Gobain, Montargis, Retz, Villers Cotterêts, Mortcerf ... et Chenoise, où travaillaient des "Tirachiens". Voituriers d'une autre origine.
Fait divers : le crime de la ferme de la Hotte par des "chauffeurs", an V de la République.

 

4° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Le travail en forêt

Cliquez sur les vignettes

 

16/ Les chevaux
A la recherche, dans les documents d'archives, des chevaux utilisés par les voituriers thiérachiens. Qualités, prix, habitudes...
Les difficultés de renouveler le cheptel à cause des guerres de la Révolution et de l'Empire. La remonte, le placement chez les particuliers...


 

17/ Débardage et chariots
Le travail des voituriers dans les forêts: débardage avec les chevaux, le "chariot thiérachiens" ses caractéristiques et sa capacité. Autres débardeurs de bois.

 

 

18/ Quel port ?
Un port au XVIII° siècle, exemple de Thomery. Où pouvaient se situer les ports des Thiérachiens? L'auberge du Petit Châtelet et les chemins, dans le livre du père Péricard sur le Châtelet en Brie, 1938. L'abbaye et le port de Barbeau. Le lieu dit la Tirache à la Grande Paroisse. Les ports sur la Seine dans la traversée du 77. Le port de Courbeton proche Montereau. Plan des chemins vers les ports retrouvés sur les documents anciens sur le fond de carte Cassini.

 

 

19/ Travail et salaire
Imaginer la journée de travail d'un Thiérachien et de sa famille... Estimer la "fortune" des voituriers thiérachiens par rapport à celle des manouvriers qu'ils fréquentaient. Paiements en nature ou en numéraire, les frais de l'entretien d'un attelage...

 

 

20/ Les marchands de bois
A l'opposé des Tirachiens, les marchands de bois qui les employaient étaient fortunés et influents. Quelques marchands de bois retrouvés dans les actes des voituriers...
... et aussi quelques marchands de charbon de bois, venus de la forêt d'Othe en même temps que les charbonniers, moissonneurs migrants et marchands forains.

 

 

21/ Tirachiens et galvachers
Concurrents des Thiérachiens, les galvachers venaient du Morvan avec leurs attelages de boeufs. Leur migration saisonnière les amenait souvent dans les forêts pour débarder le bois.

 

 

22/ Bourguignons à la Chapelle Rablais
Des galvachers sont-ils passés à la Chapelle Rablais? On a relevé la trace de Bourguignons dans les archives de la commune, un charretier de ferme, un maréchal ferrant, un propriétaire et son domestique et un marchand de bestiaux dont le parcours est très éloigné de celui des Thiérachiens.

 

 

23/ Thiérachiens et Galvachers / suite
Page en construction dont je publie les premiers paragraphes sur les lieux fréquentés par les deux groupes de voituriers. Lien vers une carte plus détaillée sur Google Maps.

 

5° partie: usages et abus dans la forêt

Cliquez sur les vignettes

 

24/ Les métiers de la forêt
Les relations des voituriers thiérachiens avec les autres travailleurs de bois: scieurs de long, bûcherons, charbonniers... et les artisans du cheval: maréchal ferrant, charron, bourrelier... Métiers à la Chapelle Rablais dans le recensement de 1836.

 

 

25/ Us et abus dans la forêt
Où l'on parle de bois de chauffage, de glandage, de chasse et de braconnage, de bestiaux dévasteurs de forêts... et autres petites malversations par les paysans, les manouvriers et aussi les voituriers.

 

 

26/ Us et abus sous la Révolution
D'autres infractions dans les forêts; la menace des armes... Abattage et transport sauvages sous la Révolution, protestations des marchands de bois.

 

6° partie: la vie retrouvée des Tirachiens
Maison et famille

Cliquez sur les vignettes

 

27/ Voituriers, paysans, nomades et sédentaires
Tirachiens, Tiraloups, bohémiens, hommes des bois, braconniers, voleurs de poules, trousseurs de jupons, que sais- je encore? Quelle réputation pouvait précéder ou suivre les groupes de forestiers thiérachiens? Et quel accueil ont pu leur réserver les paysans de Brie?
Mobilité, immobilité des autochtones. Bergers et batteur en grange...
Dialectes et patois: la parabole de l'Enfant prodigue retranscrite en divers idiomes au début du XIX° siècle.

 

 

28/ Camping à la ferme et tables d'hôtes
Travail saisonnier en Brie tout en restant domicilié dans le Hainaut; conditions de logement des hommes, les femmes étant restées au Pays. Auberges et loges. Concentration de voituriers dans le hameau des Trois Chevaux de la Chapelle Gauthier.

 

 

29/ Du nomade au résident
Plaintes contre les insaisissables voituriers, l'une des raisons qui ont fait qu'ils ont choisi de se fixer en Brie. Inventaires d'une petite maison de célibataire tirachien, d'une famille de voituriers et d'une ferme des Montils possédée par un riche bourgeois. Modes de vie reflétant des époques différentes.

 

 

30 / Epouses et enfants
S'installant en Brie, les Tirachiens ont pris épouse. Quelques épisodes de vie conjugale entre Thiérachiens et Briardes: traditions d'épousailles, mariages multiples, conscrits sous la Révolution. Mariages hors paroisse en 1750 et 1800...

 

 

31 / Epouses et enfants 2
D'autres épisodes de vie conjugale entre Thiérachiens et Briardes: veufs et veuves, pauvreté partagée, les enfants des voituriers, quelques conceptions hors mariage, etc..

 

Documents sur les voituriers thiérachiens
 
Traces des voituriers
Pour donner un petit coup de pouce aux généalogistes, car retrouver un ancêtre migrant n'est pas des plus aisés, j'ai résumé les actes authentiques qui révèlent la présence en Brie de nombreux voituriers originaires de la Thiérache belge. Des liens vers quelques extraits d'actes notariés révélateurs de leur mode de vie sont proposés. (plus de deux cent cinquante pages papier)
 
Traces des voituriers / résumé
Brève notice pour chaque voiturier en bois découvert dans les documents d'archives. Les sources sont détaillées dans les pages "Traces des voituriers".
 

Le département de Jemappes
Bataille de Jemappes, général du Taillis. Divisions administratives sous l'Ancien Régime , création des départements en 1790. Création du département de Seine et Marne. Les départements sous Napoléon I°...

 

 
Les documents
Page des choix des documents sur la Chapelle Rablais ou les travailleurs migrants retrouvés dans les archives de la Mairie. De nombreux documents sur les voituriers thiérachiens.
     
Curés briards et paroissiens
 

Essayer de retrouver la vie d'Etienne Fare Charles Huvier, curé de campagne au milieu du XVIII° siècle au travers des traces qu'il a laissées, dont de nombreuses notes dans les marges des registres paroissiaux. Découvrir aussi ses paroissiens, et les autres curés de la Chapelle Rablais jusqu'à la Révolution et au delà...

 

 
Personnages, biographies

Les deux vies des frères Grandjean

Cliquez sur les vignettes

 
Deux frères inséparables, oculistes royaux, propriétaires des Moulineaux à la fin du XVIII° siècle. Où l'on découvre leur vie publique très édifiante et certains aspects de leur vie privée qui ont inspiré un conte -peu moral- du célèbre Restif de la Bretonne.
 
A la recherche du portrait d'Henriette "Grandjean", fille et concubine des deux oculistes. Des recherches et des compléments d'information.
 

Le texte des nouvelles de Restif de la Bretonne où l'on retrouve les membres de la famille Grandjean: "Sanseverote Rustane batarde filleule maîtresse" et "La Mère - Gâteau"

 

 

Zones d'ombre dans la vie d'Etienne Labarre

Cliquez sur les vignettes

 
Il y a deux cents ans, Etienne Labarre était marchand de bois en forêt de Villefermoy. Il fut aussi huissier de justice à la Martinique, bourgeois de Paris, hobereau au Châtelet en Brie où il fut aussi juge de paix et administrateur du département, sous la Révolution. Il se brouilla probablement avec son père, se fâcha avec sa femme, son fils, son associé ... Bref, un personnage public aux nombreuses zones d'ombre.
Première partie: fils d'un marchand de bois pour la provision de Paris et huissier à la Martinique
 
Deuxième partie: retour en France, marchand de bois en forêt de Villefermoy et châtelain de Bois Louis au Châtelet en Brie.
 

Troisième partie: chicanes judiciaires et familiales.

 

 

 

Adolphe de la Rüe, inspecteur de la forêt de Villefermoy
 

Quelques facettes de la personnalité d'Adolphe de la Rüe, dynamique Inspecteur de la forêt de Villefermoy sous Napoléon III, qui aurait pu habiter le château de la Chapelle Gauthier s'il n'avait pas établi sa résidence à Courgousson. A retrouver: sa recette du Hâtelet de lapin à la Villefermoy !

 

Eléonore Vergeot, châtelaine des Moyeux
 

Eléonore Vergeot, châtelaine des Moyeux sous le second Empire, connut Louis Napoléon Bonaparte lorsqu'il était prisonnier au fort de Ham où elle fut engagée comme lingère. Elle repassa si bien qu'elle donna deux enfants au futur empereur Napoléon III...

 

Michel Buthion, simple ouvrier faïencier
 
Le nom de Michel Buthion est apparu en faisant des recherches sur la petite Marie Villard, fille d'un scieur de long du Forez. Cet ouvrier faïencier avait épousé une autre Marie Villard, elle aussi originaire de la Loire, d'une manufacture à une autre, il finit par se fixer à Montereau. Il participa à la guerre de 1870 et, passant par la Chapelle Rablais avec des volontaires et des gardes nationaux, connut une fin tragique...

Paysans et riches chasseurs

Cliquez sur les vignettes

 

Sur même territoire vivaient des paysans tirant leurs revenus de leurs champs et des marchands de bois, des chasseurs souhaitant l'accroissement des forêts. Leur cohabitation ne se fit pas sans heurts: on en trouve traces dans les archives du petit village de la Chapelle Rablais, en Brie, depuis le règne de Louis XIV jusqu'à l'orée du XX° siècle...
1° partie: la Chapelle Rablais dans la Capitainerie de Fontainebleau.

 

 

2° partie: les contraintes de chasse dans la Capitainerie de Fontainebleau, territoire réservé au Roi. La chasse étant interdite aux paysans, ces contraintes s'appliquaient aux possesseurs des bois. D'où baisse de la valeurs de leurs terres et disparition de hameaux.

 

 

3° partie: les paysans et la chasse. La chasse était réservée aux privilégiés, cependant le braconnage était tentant. Les gardes des Plaisirs du Roi, les sanctions, le gibier vendu aux rôtisseurs ...

 

 

 

4° partie: le gibier avant l'homme. Dans l'étendue de la Capitainerie de Fontainebleau, où la Chapelle Rablais était englobée, il ne fallait évidemment pas porter atteinte au gibier, réservé aux chasses royales; il ne fallait pas non plus en gêner la croissance. Le gibier dévastateur, les lapins "vermine des bois", les contraintes de culture...

 

 

5° partie: champs ou forêts. La baisse de valeur des terres agricoles à la Chapelle Rablais à cause de la Capitainerie et le goût pour la chasse poussa les riches propriétaires à abandonner des terres agricoles pour les transformer en bois, agrandissant ainsi leur territoire de chasse. Les protestations des paysans, l'extension des bois au XIX° siècle.

 

 

6° partie: 1841 chasse à courre en forêt de Villefermoy. Les deux fils de Louis Philippe participèrent à une chasse à courre en forêt de Fontainebleau, puis de Villefermoy, le 13 juillet 1841 qui leur fit traverser l'ancienne Capitainerie presque de part en part, jusqu'à la limite sud de la forêt de Villefermoy.

 

 

7° partie: chasses chez le comte Greffulhe (1° page). Présentation du comte Greffulhe, de ses ambitions politiques, en opposition au "père Gérôme", journaliste au Briard de Provins qui dénonça les pratiques très personnelles du châtelain de Bois Boudran, concernant la chasse.

 

  8° partie: chasses chez le comte Greffulhe (2° page)
  9° partie: chasses chez le comte Greffulhe (3° page)
  10° partie: chasses chez le comte Greffulhe (4° page)
 
11° partie : chasseurs à Villefermoy sous le second Empire, à la recherche du château détruit de la Maison Rouge 1
Les Bouleaux, famille Tamisier, famille Tattet
 
12° partie : chasseurs à Villefermoy sous le second Empire, à la recherche du château détruit de la Maison Rouge 2
Alexandre Tattet, le prince Jérôme Bonaparte, l'Inspecteur des forêts Alphonse de la Rüe...

 

Bonus

Cliquez sur les vignettes

 

Histoire du canal royal qui devait relier la ville de Provins à la Seine. Entre la fin de la Renaissance et le milieu du XIX° siècle, des projets pour rendre la Voulzie navigable, dont celui de Vauban... Une partie de l'histoire de Provins bien oubliée, dont il reste cependant des vestiges. (Plan du chapitre consacré au canal de Provins)

 

   A suivre

 

   
Autres provinces
les itinérants: marchands et artisans: vendeurs de bestiaux et de graines, ramoneurs, émouleurs, cordonniers, tailleurs..
.
   
Les voyageurs sans passeport
les soldats, les domestiques, les bébés en nourrice dont on retrouvera la trace dans d'autres documents
    Le choléra de 1832 en Brie.